Un año más Cinespaña ha escogido para los estudiantes una selección de películas que les permiten aproximarse a realidades sociales, históricas y culturales y a los aspectos fundamentales de la cultura hispánica y su diversidad.
Los tres cortometrajes exhibidos reflexionan sobre el tema de la inmigración, posibilitando a los jóvenes estudiantes plantearse preguntas como: ¿por qué estas personas deciden dejar su país? ¿A qué problemas se enfrentan ? ¿Son los muros un método ético para detener la inmigración "ilegal"?
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| Fotografía: María José Bello |
Los estudiantes reflexionaron de la mano de sus profesores y de la conductora de estas sesiones, Danielle Saint-Amans, sobre los cortos presentados: Siriman, On the Line y Metrópolis Ferry. Estas algunas de sus impresiones con respecto a los films y su temática:
"Lo que me llamó la atención en el documental Siriman de Joseph Gordillo es el optimismo que, a pesar de sus pésimas condiciones de vida, sigue proyectándose en un futuro mejor. Además, me emocionó la solidaridad que destaca entre estos sin papeles que comparten sus propias ganancias para poder preparar una comida compartida. ¿Quién sabe lo que le habrá ocurrido a Sirimán?", se pregunta Victoria.
"En el cortometraje On the line me chocó el momento en que Adam, buen padre de familia norteamericano, mata a una mujer inmigrante mejicana que intenta cruzar la frontera. Me indigna que "en nombre de la defensa de su país", voluntarios estadounidenses vigilen la frntera como si fueran policías y tengan el sentimiento de cumplir su deber de patriotas. La tierra es de todos. Bien deberían saberlo los estadounidenses si recuerdan cómo se formaron los estados unidos", reflexiona Coline.
"En Metrópolis Ferry resulta muy interesante la reacción de los tres españoles frente a la violencia policiaca sufrida por el joven marroquí clandestino en la aduana. Parece que el abogado es el que más se empeña en denunciar esa violencia, hasta que al final acaba por marcharse con sus dos amigos. De modo que, al fin y al cabo el joven marroquí volverá sin duda a su país", asume Maxime.
"Me interesó el tema de la inmigración dado que a través del documental y de los dos cortos que vimos no sólo se nos mostró la miseria y el sufrimiento de los inmigrantes sino también el corazón de los seres humanos en general entre los cuales algunos son reacios a recibir a estos inmigrados mientras que otros son más abiertos, más humanos.. ¡ Al fin y al cabo más conscientes de que todos somos emigrados!", argumenta Tristán.
Encore une année, Cinespaña a choisi pour les étudiants une sélection de films qui les permettront de s’approcher des réalités sociales, historiques et culturelles ainsi qu'aux aspects fondamentaux de la culture hispanique et de sa diversité.
Les trois court-métrages projetés réfléchissent au sujet de l’immigration, ce qui permet aux jeunes étudiants de se poser des questions comme : pourquoi ces gens décident d'abandonner leur pays ? À quel type de problèmes font-ils face ? Les murs, sont ils une méthode éthique pour arrêter l’immigration « illégal » ?
Les étudiants ont réfléchi guidés par leurs professeurs et par Danielle Saint-Amans sur les court-métrages présentes: Siriman, On the Line et Metrópolis Ferry. Celles-ci sont quelques unes de leurs impressions concernant les films et leur thématique.
« Ce qui a attiré mon attention du documentaire Siriman de Joseph Gordillo est l'optimisme que, malgré des conditions de vie très mauvaises, il essaie de chercher un futur meilleur. De plus, ce qui m'a émue de ce documentaire c'est la solidarité de ces sans-papiers qui partagent leur propres gains pour pouvoir préparer un repas en commun. Qui sait ce qui lui est arrivé à Sirimán ? »
Victoria
“Dans le court-métrage On the line m'a surpris le moment où Adam, un bon père de famille américain, tue une femme immigrante mexicaine qui essaie de traverser la frontière. Ce qui m'indigne c'est que, au nom de la défense de son pays, les volontiers Américains surveillent la frontière comme s'ils étaient des policiers et ils aient le sentiment d'exécuter son devoir de patriotes. La Terre appartient à tous. Les Américains devraient le savoir, il faudrait juste qu'ils se souviennent de la formation des États Unis.
Coline
Dans le court-métrage Metrópolis Ferry, c'est très intéressant la réaction des trois espagnol face à la violence de la police exercée sur un jeune marocain clandestin dans la frontière. Il semble que l'avocat est celui qui s’entête à dénoncer cette violence, jusqu'au point de finir par partir avec ses deux amis. De telle façon que, au bout du compte, le jeune marocain retournera sans doute à son pays.
Maxime
Le sujet de l'immigration m'a intéressé puisque, au travers du documentaire et des deux court-métrages qu'on a vus, on nous a montré la misère et la souffrance des immigrants, mais aussi le cœur des êtres humains en générale, parmi lesquels quelques uns sont réticents à recevoir ces immigrés, tandis que d'autres sont plus ouverts, plus humains... Au bout du compte, ils sont plus conscients du fait qu'on est tous des immigrés !
Tristán

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