Sonido, música e imágenes magníficamente orquestadas por Gordillo en una pieza experimental y casi etnográfica, que podría recordar al polaco Zdiga Vertov o al cine sensorial de Lucien Castaing-Taylor y Véréna Paravel con su “Leviatán”. Una mirada a las guerras perdidas de nuestras sociedades urbanas.
Tout en rendant hommage à Frédéric Rossif et à son oeuvre « Mourir à Madrid» de 1962, Joseph Gordillo nous fait plonger dans sa poésie urbaine. Il nous fait découvrir plusieurs aspects de la ville de Madrid : sa lutte dans un moment historique de mouvements sociaux, sa reddition et ses contrastes sociaux, qui évoquent les « deux Espagnes » des années 30. Un clin d'oeil aux guerres perdues de nos sociétés urbaines.
Parfaitement menés par Gordillo, le son, la musique et les images sont partie intégrante d'un travail expérimental et presque ethnographique, qui nous fait penser au polonais Zdiga Vertov ou au cinéma sensoriel de Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel, avec leur film « Léviathan».
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